Jeunes obligés de travailler, l’autre facette de la précarité

Pour subvenir à leurs besoins ou à ceux de leur famille, certains jeunes quittent les bancs de l’école pour rejoindre des emplois précaires. D’autres font des petits boulots en parallèle de leurs études, au détriment de leur épanouissement. Rencontrés à Meknès, ils témoignent.

Par

Des jeunes travaillant dans une boulangerie à Meknès, en mai 2025. Crédit: Karim El Haddady/TelQuel

Ils viennent de différentes régions du royaume pour s’installer, provisoirement, dans les quartiers populaires de Meknès. Certains d’entre eux poursuivent leurs études à l’université Moulay Ismail, d’autres ont déserté précocement les bancs des écoles, collèges ou lycées de la région, faute de transport scolaire ou d’argent pour…

La suite de cet article est réservée aux abonnés.
Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Déjà abonné ? Se connecter
OSZAR »